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ainsi muni contre les mauvaises pensées qui pouvaient venir au duc, le comte vit ses yeux s'ouvrir, mais, comme nous l'avons dit, sans pouvoir rien lire dans ces yeux. -ah ! ah ! fit le duc, déjà toi ! -ma foi oui, monseigneur ; je n'ai pas pu dormir, tant les intérêts de votre altesse m'ont, toute la nuit, trotté par la tête. çà, que faisons-nous ce matin tiens ! si nous chassions. bon ! se dit tout bas bussy, voilà encore une occupation à laquelle je n'avais pas songé. -comment ! dit le duc, tu prétends que tu as pensé à mes intérêts toute la nuit, et le résultat de la veille et de la méditation est de venir me proposer une chasse. allons donc ! -c'est vrai, dit bussy ; d'ailleurs nous n'avons pas de meute. chapitre xxxii - diplomatie de m. sac burberry clutch, de ... 281 page 287 la dame de monsoreau, tome 2 -ni de grand veneur, fit le prince. -ah ! ma foi, je n'en trouverais la chasse que plus agréable pour chasser sans lui. -ah ! je ne suis pas comme toi, il me manque. le duc dit cela d'un singulier air. sac gucci boston bussy le remarqua. -ce digne homme, dit-il, votre ami ; il paraît qu'il ne vous a pas délivré non plus, celui-là. le duc sourit. -bon, dit bussy, je connais ce sourire-là ; c'est le mauvais : gare au monsoreau ! -tu lui en veux donc demanda le prince. -au monsoreau -oui. -et de quoi lui en voudrais-je -de ce qu'il est mon ami. -je le plains fort, au contraire.

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